Confiance en soi, estime de soi, amour de soi : le trio magique… ou explosif ?
- FAIVRE Corinne
- 14 mai
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 17 mai
Vous avez peut-être déjà croisé ces expressions un peu partout : “Manque de confiance en soi”, “faible estime de soi”, “apprends à t’aimer toi-même”. Et vous vous êtes peut-être dit : “Oui, d’accord, mais concrètement, ça veut dire quoi ? Et surtout, comment je fais ?”
Important : ce n’est pas une question de volonté. Sinon, tout le monde irait très bien ! Qu'on se mette d'accord la dessus ! :-)
Confiance en soi, estime de soi, amour de soi : quelle différence ?
Ces trois notions sont proches mais distinctes :
La confiance en soi, c’est croire en ses capacités à faire. Par exemple, “je sais que je peux réussir cet entretien”.
L’estime de soi, c’est la valeur qu’on se donne en tant que personne. “Je vaux quelque chose, même si je rate un entretien”.
L’amour de soi, c’est s’accepter, s’aimer, même imparfait·e, même bancal·e. “Je suis digne d’amour, point barre.”
Ces piliers sont les fondations de notre équilibre intérieur. Quand ils sont fragiles, tout vacille. Mais bonne nouvelle : comme on peut muscler ses abdos (oui oui, même ceux qui dorment depuis 2008), on peut renforcer ces fondations là aussi.
Un exemple : Le syndrome du "pas assez"
Dans mon activité au cabinet, je rencontre souvent des personnes brillantes, sensibles, généreuses… mais qui se sentent "pas assez" :
pas assez bien,
pas assez compétentes,
pas assez aimables,
pas assez capables.
Cette sensation insidieuse de ne pas être à la hauteur peut ronger de l’intérieur, et elle influence tous les domaines de la vie : relationnel, professionnel, amoureux, parental, et j’en passe (même la façon de commander un café peut être une épreuve pour certains !).
Et pourtant, ces croyances limitantes ne sont pas des vérités. Elles sont souvent héritées de notre passé, de notre éducation, de nos blessures, de ce que l’on nous a fait croire… Elles sont des "histoires qu'on se racontent" et elles peuvent donc se transformer.

Sophrologie et hypnose : des alliées précieuses
La bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas obligé-e de faire ce travail seul·e, à la force du mental.
En thérapie, avec la sophrologie et/ou l’hypnose, ou à travers un questionnement visant l'introspection, on peut :
déprogrammer les croyances négatives qui nous sabotent,
se reconnecter à ses ressources intérieures,
retrouver une image de soi plus juste, plus douce, plus réelle.
Ces approches permettent d’aller au-delà du mental rationnel, et d’activer des changements profonds, durables, et souvent… libérateurs (et parfois même avec quelques larmes et des éclats de rire, promis, c’est normal ! Et pour moi, c'est même signe que "ca bouge" !).
Quelques questions pour faire le point :
Prenez un petit instant pour vous, une tisane, un plaid, et demandez-vous :
Est-ce que je me parle comme je parlerais à quelqu’un que j’aime ?
Qu’est-ce que je crois sur moi-même… et est-ce que c’est vraiment vrai ?
Est-ce que je m’autorise à réussir ? À échouer ?
Est-ce que je me sens digne d’être aimé·e, même sans rien prouver ?
Ces questions ne demandent pas des réponses parfaites, mais elles peuvent ouvrir une belle porte sur un chemin de transformation.
Pour conclure…
Il n’y a pas de formule magique pour avoir une confiance en soi inoxydable, mais il y a des chemins, des outils, des pratiques qui font une vraie différence.
Et si vous sentez que vous êtes prêt·e à faire ce pas, je vous accueille avec plaisir et beaucoup de bienveillance dans mon cabinet pour explorer cela ensemble.
✨ “Ce n’est pas l’amour qui guérit, c’est l’amour de soi.” – Anonyme, mais sacrément inspiré·e.







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